« À vrai dire, cela fait longtemps qu’on y songeait. On sait que les gens peuvent être très identitaires quand ils achètent un cadeau. Alors on s’est dit : Pourquoi pas des doudous avec des signes religieux ? », raconte Clémence, chargée de la gestion opérationnelle et commerciale de Nin-Nin. Et comme le veut la formule, il y en a pour tous les goûts, pour toutes les religions. « Il nous reste à réaliser une croix huguenote, mais aussi la très belle Colombe de la Paix de la Communauté de Taizé pour celles et ceux qui prônent l’œcuménisme ! »
Pour un baptême ou un autre événement...
Les deux entrepreneurs revendiquent haut et fort leur choix : « Même s’il y a la guerre actuellement au Moyen-Orient, il ne faut quand même pas oublier que chaque religion prône la paix. En fait, pour un baptême ou un autre événement lié à une naissance, on doit pouvoir avoir le droit d’offrir un doudou personnalisé comme ça se fait pour les bijoux, bracelets, médailles… » Ces doudous non genrés, vendus une quarantaine d’euros, ne font guère plus de 60 grammes et ne risquent donc pas d’étouffer un bambin.
En 2020, Clémence Berruyer et Nicolas Courrège avaient momentanément ajouté une corde à leur arc en pleine épidémie de Covid. Sollicités par une infirmière de l’hôpital Jean Mermoz à Lyon (Rhône), fan de leurs doudous, ils avaient fabriqué gratuitement des calots avec des chutes de tissu.
Doudou, NIN-NIN
Non non, doudou Nin-Nin ne nous a pas rendus bègues. Oui oui, il est traficoté avec des matières premières françaises dans un petit coin de Bourgogne que notre rédacteur en chef affectionne tout particulièrement, Le Creusot. Alors alors, nos doudous chouchous sont sans discussion possible le « paresseux » et le « tatoué », mais, avec plus d’une centaine de références, chacun devrait trouver doudou à son p’tit chou.
"NOS CALOTS APPORTENT DE LA COULEUR" Clémence et Nicolas de l'entreprise Nin-Nin au Creusot
Il n’y a pas que les masques qui peuvent manquer dans les établissements de santé… A l’hôpital Jean-Mermoz, à Lyon (Rhône), on manquait aussi de calots. Alors Clémentine, une infirmière, a eu l’idée de contacter l’entreprise Nin-Nin du Creusot (Saône et Loire) pour lui demander si par hasard, elle ne pourrait pas faire des calots avec des chutes de tissu.
Elle l’a fait par Instagram, car, maman, elle est abonnée à la petite société familiale qui produit des objets de puériculture. «On n’a pas hésité une seconde clament Clémence Berruyer et son compagnon Nicolas Courrège, les créateurs de Nin-Nin. On s’est dit que si on était capables de faire des doudous, on allait bien réussir à faire des calots.» Une production 100% gratuite. Ils ont donc cherché sur Internet un patron et, comme tous les infirmières et infirmiers urgentistes n’ont pas la même tête, ils en ont réalisé en plusieurs tailles. Forcément les calots ainsi confectionnés et made in Le Creusot sont plus colorés que ceux qui, habituellement, sont livrés dans les hôpitaux. «On met de la couleur dans cette période bien triste, ça ne peut pas faire de mal !» sourient Clémence et Nicolas.
La première expédition d’une grosse vingtaine de calots a eu lieu en fin de semaine. Et ils sont bien arrivés. Le couple en a offert un à un infirmier de leur connaissance en poste à Chalon-Sur-Saône, mais la direction de l’hôpital a refusé qu’il le porte. Qu’importe. Les deux jeunes entrepreneurs ont rassemblé toutes les chutes de tissus accumulées depuis la création de leur jeune entreprise. «On a décidé de les offrir aux personnes souhaitant réaliser des masques. C’est une bonne valorisation des bouts de tissu que l’on ne peut plus utiliser». Alain Bollery
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Nin-Nin, c’est le Doudou Made in France créé par un papa. Il est doux, léger, et sa forme est parfaitement adaptée à la psychomotricité du nouveau-né. C’est un câlin à emmener partout, il tient dans la poche. Les licornes n’ont qu’à bien se tenir. Le Lama pourrait bien les détrôner ! ll est devenu l’animal incontournable pour se la péter branché.
❝L’avis de Capucine❝ : Un doudou qui surfe sur la tendance en adoptant le motif Lama. Pas seulement rigolo, le Nin-nin est également doux et facile à attraper ce qui favorise le développement des premiers gestes de bébé.
Le + : un doudou Made in France adapté aux nouveau-nés !
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Le doudou made in Creusot fait une poussée de croissance
Le désormais célèbre jeune couple creusotin lancé dans l’aventure du Nin-nin, Clémence Berruyer et Nicolas Courrège, est en passe de gagner son pari lancé il y a trois ans : créer l’objet indispensable pour bébé.
Si l’on en juge l’activité de ses collaborateurs ou l’espace expéditions encombré, la jeune entreprise installée dans une arrière-cour de la rue Marceau s’active à honorer un carnet de commandes qui ne désemplit pas. À l’atelier de fabrication du doudou made in Creusot, l’ambiance est studieuse et en même temps décontractée et dynamique. Pensé dès 2009 et crée en 2012, le concept du nin-nin alliant produit et marque déposée ne s’est pas attardé dans un tiroir puisque sa commercialisation débute en ligne à l’été 2016. En mars 2018, la transformation du statut d’autoentrepreneur à celui de “société anonyme” reflète une progression fulgurante sur le marché de la puériculture. En terme de chiffre d’affaire, les chiffres parlent d’eux-mêmes : 500 € en 2016, 19 000 € en 2017, 80 000 en 2018 et la barre des 300 000 € très certainement franchie en 2019. « Nous sommes en avance par rapport à notre business plan », se réjouit Nicolas Courrège, l’ex technicien informatique, aujourd’hui directeur général de la société et âgé de 40 ans.
Une réussite qui a nécessité l’embauche d’une couturière à temps plein début 2019 et le recours à deux personnels en free-lance, l’un webmaster, et l’autre web marketeur, qui a pour fonction de mettre en place la stratégie de communication décidée de l’entreprise, visant à augmenter le trafic et donc les ventes. « Jusqu’en 2020 inclus, nous avons fait le choix de réinvestir l’ensemble de nos bénéfices en machines, publicité et communication », explique la présidente Clémence Berruyer, 36 ans, ancienne directrice de grande surface. Car le Nin-nin Made in France vise très haut. Les deux prochains exercices seront d’ailleurs cruciaux pour une entreprise souhaitant franchement passer un cap. De l’atelier à l’usine. Des objectifs chiffrés à 750 k€ en 2020 pour 2,2 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021. « À cette échéance, cela équivaut à 90 000 unités vendues par an, soit environ 10 % des bébés qui naissent en France. Aujourd’hui, nous ne sommes qu’au début du décollage », assure Nicolas.
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« À la naissance de mon fils, j'ai eu l'idée de créer un doudou, car je me suis rendu compte que les petits en avaient au moins cinq », raconte Nicolas Courrège. Installé au Creusot (Saône-et-Loire), ce jeune père de famille s'est lancé avec sa compagne Clémence dans une folle aventure. Celle de créer un « nin-nin », comme on appelle dans la région les doudous pour les enfants. Né il y aura trois ans en août et fabriqué au Creusot, le Nin-Nin est désormais plébiscité par les jeunes enfants.
Ce sont les parents qui le disent. « Ma fille Candice s'endort en le mettant sur le visage », a remarqué Caroline, une jeune mère de famille. Clémence en rigole : « Tous les parents ou presque nous disent que leur enfant s'endort avec son Nin-Nin sur le visage. » Il faut dire que le tissu est hyper doux et léger, très facile à attraper dès le plus jeune âge. « Nous avons trouvé un nouveau fournisseur à Saint-Etienne et la texture est parfaite. »
Vendus 35 €, ou 45 € brodés et personnalisés (80 % des ventes), les « Nin-Nin » ont eu le bonheur d'être retenus par le CE d'Airbus à Toulouse, qui en offre pour chaque naissance parmi ses collaborateurs. Une véritable manne qui représente près de 800 pièces à l'année. L'entreprise commencer ainsi à bien décoller.
« On expédie environ 300 pièces à la semaine. En fait, nous sommes en constante augmentation. Malheureusement, depuis mai, on a des problèmes de livraison avec la Poste et c'est pénalisant. Un parent qui a commandé un exemplaire en urgence pour remplacer un doudou perdu ne comprend pas ce genre d'accident », glisse Clémence. Car forcément, dès qu'il s'agit d'un doudou, les anecdotes se multiplient. « La dernière, c'est un couple de Paris sur la route de la Bourgogne. Ils se sont rendu compte qu'ils étaient partis sans le Nin-Nin du petit. Ils ont appelé leurs parents qui sont venus en acheter un directement à l'atelier. Tout le monde était en panique ! »
Sophie la girafe, le modèle à suivre « L'idéal c'est d'en avoir au moins trois. Un pour la maison, un pour la crèche ou la nounou et un dans la machine à laver », lâche Clémence dans un grand sourire. Et de préciser : « Les parents en achètent jusqu'à six. » Les vacances et le week-end sont les périodes où les « Nin-Nin » se perdent le plus. « Le dimanche soir, ça s'affole au niveau des commandes sur Internet. » Si plus de 80 % des ventes se font en ligne, les Nin-Nin du Creusot sont tout de même vendus dans quelques boutiques. On les trouve par exemple au Bon Marché à Paris.
« Au lancement, c'est ma maman, couturière de métier, qui nous a aidés », explique Nicolas. L'entreprise a désormais embauché une couturière à plein temps. L'objectif du couple est en forme de rêve : « Quasiment tous les petits ont une girafe Sophie de chez Vulli. Nous, on rêve de la même chose avec notre Nin-Nin… »
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L'avis d'Emilie de www.thebrunette.fr : Très rigolo, ce doudou a une forme très sympa qui permet à l'enfant de l'attraper facilement. J'aime le fait qu'il soir made in France et créé par un papa. Un packaging très réussi, idéal pour un très beau cadeau à offrir !
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Nin-Nin dans le magazine Saône et Loire Tourisme - 29/01/2019
Nin-Nin, le doudou made in France créé par un papa est dans le magazine Saône et Loire Tourisme ! Faites le plein de bons plans, de bonnes adresses, d'idées de sorties pour un séjour Country Break en Bourgogne... Et puis, si vous avez envie de découvrir notre atelier, n'hésitez pas à nous le faire savoir. Nous nous ferons un plaisir de vous recevoir !
Nin-Nin, c'est une collection de doudous trop doux déclinée dans une multitude de motifs, le tout made in France.
"En devenant papa, j'ai réfléchi à une idée de concept et je me suis dit qu'avec 2400 naissances par jour en France, il y avait peut être une idée ! J'ai dessiné ce doudou de façon à ce qu'il convienne parfaitement aux besoins des bébés avec de grandes oreilles, son absence de visage laissant libre court à l'imagination... Avec Clémence, ma compagne, nous nous sommes lancés en 2016 et sommes ravis du succès de Nin-Nin aujourd'hui. Les gens aiment le fait qu'il ait été créé par un papa, qu'il soit Made in France et déclinable à l'infini.
Nous sommes installés au Creusot car je suis Creusotin, mais la ville a une vraie tradition textile. A terme, mon souhait est de pouvoir grandir et employer des personnes d'ici afin de relancer cette tradition"
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Nin-Nin dans le magazine en ligne Histoiresdepapas.com - 26/09/2018
Doudou Nin Nin : comment Nicolas Courrège est-il devenu un papa entrepreneur ?
Devenir papa, ça change une vie. Et parfois, cela inspire même un nouveau job ! Il y a quelques mois, j’ai rencontré Gilles Vaquier de Labaume qui a créé, quelques années après être devenu papa, l’Atelier du futur papa. Aujourd’hui, je vous propose le portrait de Nicolas Courrège, ce papa entrepreneur de 39 ans qui est le fondateur de la marque de doudou Nin Nin : des doudous fun, cool et décalés made in France (made in Le Creusot en Bourgogne) ! Avec sa femme Clémence, ils forment une jolie famille recomposée (avec leurs deux garçons de 9 ans) et développent une collection de doudous qui cartonne en France et à l’étranger.
Véritable créatif, il imaginait déjà ses propres vêtements au lycée. Quelques années plus tard, il décide de coudre un doudou… Le doudou Nin Nin est né !
Interview de ce papa entrepreneur, rockeur au coeur tendre !
Nicolas, comment ton fils et ton beau-fils te présenteraient aux lecteurs d’Histoires de Papas ?
Alors je pense que mon fils, Eliott et mon beau fils, Tao diraient de moi que je suis un papa assez strict mais ils diraient aussi que quand ils respectent ce que je leur dis, ils peuvent faire ce qu’ils veulent. C’est du donnant donnant et ils le savent. Je ne leur mens jamais et c’est pour ça qu’ils me font confiance.
Après ils diraient aussi que je suis un papa protecteur et que je ferai toujours tout pour ma famille. Les enfants me font confiance et ils peuvent compter sur moi quoi qu’il arrive. Ils diraient aussi, parce qu’ils me voient avec des yeux d’enfants, que je sais tout faire et que je connais tout… bon ok, c’est pas forcément toujours le cas !
Comment est née l’aventure du doudou Nin Nin ? Comment as tu eu l’idée de créer cette marque ?
Nin-Nin, c’est venu quand mon fils est né. En fait, un peu tard en réalité. Je cherchais une idée de concept, une idée originale et sympathique. Mon fils ne se séparait jamais de son doudou, qu’il appelait son nin-nin alors du coup, je me suis interrogé sur cet objet. Je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose et de là est venu l’idée. J’ai couché le concept sur papier, déposé la marque, créé et déposé le modèle (unique) et j’ai mis ça dans un tiroir. En rencontrant Clémence il y a trois ans, on en a longuement parlé car le concept était toujours planqué dans un tiroir et là est venue l’énergie. L’idée était de faire de cet objet, un doudou fun, cool, drôle, qui casse les codes de la puériculture et qui est tourné vers un monde un peu plus masculin.
Quelles sont les spécificités du doudou Nin Nin ?
– Des extrémités fines qui facilitent la préhension et qui sont adaptées à la psychomotricité du nouveau-né
– Une tête sans visage qui va accompagner l’enfant tout au long de son développement cognitif et plus particulièrement pendant la période de l’imagination créatrice
– Un noeud à la patte gauche et à l’oreille droite pour soulager les gencives lors des poussées dentaires de bébé
– Une étiquette “bleu blanc rouge” car Nin Nin est 100% fabriqué en France avec Amour
– Une étiquette fluo jaune, verte ou orange stimulus visuel attractif participant au développement des réflexes photomoteurs du nourrisson
Nin Nin c’est aussi une aventure familiale puisque tu gères l’entreprise avec ta femme Clémence : est-ce facile de travailler en couple ? Des astuces à partager ?
Oui effectivement, nous travaillons ensemble dans l’atelier que nous avons créé. Pour nous, c’était la condition sinéquanone de travailler ensemble. C’était notre rêve le plus cher. Alors oui c’est facile de travailler ensemble. Je ne vous cache pas qu’il y a parfois quelques petites chamailleries mais on se fait un bisou et c’est reparti. Quand l’amour est là, tout va !
Si j’avais juste une astuce à partager, c’est de savoir ce que chacun sait faire et de faire confiance à l’autre. Clémence et moi sommes ultra complémentaires ce qui ne nous empêche pas de nous donner des idées sur nos domaines de compétences mais chacun sait ce qu’il sait faire et ne sait pas faire. On se fait confiance et ça marche !
Le doudou Nin-nin est moins classique, plus mode et plus rock que les doudous que l’on trouve habituellement sur le marché : tu es un papa mode et rock ?
Oui effectivement, si c’est pour faire la même chose que les autres, ce n’est pas la peine. Nous n’avons pas envie de proposer des doudous qui ressemblent à tous ceux que l’on trouve dans le commerce. Nous voulons casser les codes de la puériculture et nous voulons nous différencier.
En fait, je dois être un peu schizophrène car je pense avoir un coté de ma personnalité très doux et un coté dur et rock. J’adore la mode et les belles choses, mais perso je m’habille toujours pareil. Avec un t-shirt noir :-
En quoi ton rôle de papa / beau papa t’influence t-il et t’inspire-t-il dans ton rôle de créateur de doudou ?
Je vois bien que les enfants grandissent à une vitesse folle. J’ai bien vu que dès leur plus jeune âge, ils étaient en avance sur nous au même âge. Alors oui, quand je vois un môme qui, a 2 ans est capable de prendre un téléphone et de faire défiler des photos, de les agrandir, de les modifier, et presque de l’envoyer à un destinataire ça m’inspire. Les nôtres ont 9 ans tous les 2 mais leur façon de vivre et de s’amuser m’inspire chaque jour et me donne de nouvelles idées.
Un papa créateur de Doudou, ce n’est pas classique dans le monde très « codé » de la puériculture ! As-tu le sentiment que le rôle des papas évolue ces dernières années ?
Oui carrément, les papas sont beaucoup plus impliqués dans leur rôle de père. Avant c’était papa au boulot et maman à la maison. Maintenant les 2 parents bossent et parfois les rôles sont presque inversés ! Les papas sont à fond et c’est normal, ce n’est pas une question d’égalité des sexes, c’est une question d’assumer son rôle de père comme les femmes assument leur rôle de mère.
Comment arrives-tu à concilier ton rôle de papa / beau papa et de papa entrepreneur ?
C’est très simple, les enfants m’ont toujours vu travailler. Alors pour eux c’est normal. Pour Clémence, c’est pareil, elle a toujours bossé donc pour eux c’est normal. Et puis, les enfants ne sont pas bêtes, ils savent que si on travaille, on gagne de l’argent, et si on gagne de l’argent alors nous pourrons partir en famille en vacances, s’acheter des “trucs” comme ils disent, etc…
Quels conseils donnerais-tu à un papa entrepreneur ?
Je n’ai surement pas de conseil à donner aux papas déjà entrepreneurs mais à ceux qui se tâtent encore… Allez y foncez ! N’ayez pas peur de réussir !
As tu l’impression qu’être père t’aide dans la réalisation de tes projets pro ? Avoir des enfants te donne-t-il une autre énergie ? Un autre équilibre ?
Être père, c’est avoir des responsabilités. Alors oui, ça me donne de l’énergie pour avancer. J’ai envie que leurs futurs soient meilleurs et qu’ils puissent démarrer leur vie dans les meilleures conditions possibles. Il y aura des ratés mais l’important c’est l’amour. Quand on est père et quand on est mère, on est obligé d’assurer et c’est comme ça. L’important, c’est de bien le prendre, de l’accepter et d’avancer.
A quoi ressemble une semaine type de Nicolas, papa entrepreneur et créateur de doudou Nin Nin ?
Il n’y a pas vraiment de semaine type, on prend les choses comme elles viennent et surtout on improvise. On improvise tout le temps en fait. Il y a toujours des imprévus. Je suis obligé de jongler avec 3000 trucs en même temps, et j’ai toujours l’impression de courir après le temps.
As tu des choses clés que tu souhaites transmettre à tes fils et beau fils ?
Je veux qu’ils sachent que quoi qu’ils décident de faire dans la vie je les soutiendrai s’ils le font avec le coeur. (Bon sauf s’ils veulent faire un élevage de doryphores ! LOL) Je ne veux pas qu’ils se laissent dicter leur avenir par qui que ce soit. Je veux qu’ils aient confiance en eux et je veux en faire des battants !
Et pour finir, quelle est ta plus belle histoire de papa et beau papa à ce jour à raconter ? Et la plus drôle ?
La plus belle histoire de papa c’est certainement celle où Eliott est venu au monde mais bon ça va paraître un peu bateau. Mais j’en ai une autre ! Oui une belle histoire avec mon fils quand il est venu avec moi en déplacement pendant une semaine complète alors que j’étais responsable de création dans un atelier près de Châteauroux. Il m’a accompagné partout et pendant ces 5 jours je pense qu’il a appris à me connaitre différemment. Il était avec moi au boulot et il participait ! c’était drôle pour moi mais aussi pour les employées… C’est un souvenir que je garderai en moi toute ma vie !
Avec Tao, mon beau-fils, c’est différent. On apprend tous les jours à se connaitre. Alors nous partageons à chaque fois de belles histoires car j’aime lui apprendre et lui montrer des choses que je sais faire. J’aime bien le charrier car il prend souvent les choses au premier degré… du coup avec le temps, il a compris que je rigolais et c’est vraiment cool. Il sait qu’il peut me faire confiance et qu’il peut compter sur moi, ça c’est une belle histoire !
L’histoire la plus drôle, avec Eliott, c’est récent. Nous étions dans l’avion et j’ai commencé à imiter le commandant de bord pendant le vol… on s’est tapé un délire pendant 1 heure au moins. (Peut être à cause du stress lol) Vous savez les délires de gamins où vous n’arrivez même plus à vous arrêter !!! Trop bon de retourner en enfance parfois…
Avec Tao, on s’amuse à se faire des grimaces… alors on se répond par grimaces interposées. On se tape aussi des barres de rires. Surtout quand il essaye une nouvelle figure de style, si je puis dire… très drôle !!! lol
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Coupe du monde : Top 10 des vêtements du supporter !
Toujours sous le coup de l’émotion de cette finale de la coupe du monde où nos Bleus ont brillé comme la deuxième étoile qu’ils viennent de rajouter à leurs maillots ? On a voulu s’équiper pour marquer ce moment historique ! Alors on vous a préparé notre TOP 10 des produits de la coupe du monde ! Pour avoir du style en supportant les Bleus !
Retrouvez l'article complet ici : https://edgard-lelegant.com/coupe-du-monde-top-10-vetements-supporter/
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Nin-Nin dans Point de Vue - 25/04/2018
Focus Reportage :
Nicolas Courrège - Natif du Creusot, ce jeune papa dynamique et sportif a toujours été fasciné par les tissus de sa mère couturière. A près avoir lancé une première marque de vêtements, il a décidé de créer Nin-Nin, un doudou moderne, sympa et 100% fabriqué en France, pour rappeler que les pères aussi savent faire dans la tendresse et la douceur.
Mon vin : Un Mercurey 1er cru 2016, un bourgogne rouge. Il n'y a pas de meilleur moment que de se retrouver avec des amis autour d'une bonne bouteille.
Ma photo : Ma conjointe Clémence, Tao son fils de 8 ans , et mon fils Eliott, 8 ans aussi. Ma famille recomposée dont je suis fier. Clémence me porte. Elle est mon tout.
Mon doudou : C'est le modèle marinière, à petites rayures et bandana. Comme les enfants de ma région, mon fils appelle son doudou un nin-nin, d'où le nom, nin-nin.fr
Mes couteaux : Je suis le cuisinier de la famille. Fasciné par Bernard Loiseau, bourguignon comme moi, j'ai même suivi une formation pendant mon adolescence.
Mon Polaroid : Mon père était photographe professionnel. J'ai gardé le goût de l'objectif mais surtout des photos instantanées à offrir tout de suite.
Mes gants de boxe : Je pratique le full-contact, la boxe américaine, qui me défoule. Après une bonne séance, j'ai les idées en place.
Mon livre : Une biographie de Steve Jobs. Je suis assez terre à terre, je préfère le réel à l'imaginaire. Cet homme est un génie.
Mon mala : Je l'ai ramené de Thaïlande où habite mon meilleur ami Jean. Le bouddhisme a une résonance en moi. Je me sens bien quand je le porte.
Mon artiste : Keith Haring m'inspire. Il a imposé son style dans le street art. Ce bébé rayonnant me touche beaucoup.
Mon disque : Le fameux Album Blanc des Beatles. Je l'écoutais en voiture avec mon père, il me rappelle mon enfance.
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Nin-Nin dans Mag In France - Janvier/Février 2018
Focus Reportage :
Le doudou de Papa
A l'origine, le Nin-Nin était un bout de tissu ou un morceau de lange que les mamans donnaient à leurs enfants pour s'endormir. Au fil des années, il est devenu doudou bien que dans certaines régions le terme "Nin-Nin" soit toujours utilisé. Chez Nin-Nin, donc, on crée des doudous, véritable compromis entre tradition, originalité et modernité. Et pour une fois, on doit cette inventivité à un Papa ! Du coup, la marque casse les codes des produits pour nouveau né et ose même en faire un monde masculin... On évite les tissus roses, bleu et le liberty et on opte pour du fluo, des baleines ou des ananas. En tout, plus de 50 modèles différents confectionnés à la main par des couturières en Bourgogne.
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Nin-Nin dans Epoche Times Chine - 24/11/2017
Focus Reportage :
Les Doudous Creusotin en Chine !
Les produits Nin-Nin plaisent aux Chinois. Nicolas Courrège, créateur du "Nin-Nin" et Clémence Berruyer, chargée du marketing et de la communication , l'ont constaté lors des salons où ils étaient présents depuis le lancement de leur boutique en ligne il y a dix-huit mois.
Ils ont été approché par des importateurs qui souhaitent diffuser leurs produits en Chine. Mais ils n'ont pas pu pour l'instant, répondre favorablement à leurs propositions, en raison de la petite taille de leur outil de production.
Les doudous sont entièrement fabriqués au Creusot en Saône-et-Loire, par deux couturières qui travaillent à domicile. Mais le succès de Nin-Nin va au-delà des espérances de ses créateurs.
Pour faire face à la demande, ils ont déménagé il y a un mois dans une maison, où seront installés début 2018 un atelier et un show-room. Une embauche est également prévue.
L'entreprise veut rester en Saône-et-Loire et continuer à produire des doudous 100% traficotés au Creusot. La demande est là : selon Clémence Berruyer, 2500 bébés naissent chaque jour en France, à qui on offre en moyenne cinq doudous ! Nin-Nin a commencé à se faire un place sur ce marché très concurrentiel, en misant sur sa fabrication locale.
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Nin-Nin dans Parole De Maman - Best Of 2017
Focus Reportage :
Nin-Nin c'est le plus français des doudous : la confection est assurée par des couturières du Creusot (71). Ensuite, si Nin-Nin est une marque unique et singulière c'est que son créateur est un Papa. Il a couvé le Nin-Nin avec toute sa tendresse et toute sa douceur. Du coup, Nin-Nin casse les codes des produits pour nouveau-né et ose même en faire un monde masculin.
L'avis de Jessica : Très maniable et facilement transportable, sa singularité est son premier avantage ! Les oreilles du Nin-Nin sont souvent dans la bouche de mon fils. Le packaging est aussi super. C'est idéal pour offrir !
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Nin-Nin dans Le Creusot Mag' - Mars/Avril 2017
Focus Reportage :
Nin-Nin, Des doudous made in Le Creusot
Nin-Nin fabrique des doudous au Creusot et les exporte.
Ils sont imaginés et assemblés au Creusot avec des tissus achetés en circuits courts. En effet, c'est à Roanne, dans la Loire, que Clémence Berruyer et Nicolas Courrège font leur marché. Parce que les bébés ont besoin de douceur, ils sélectionnent des tissus doux et soyeux, de sorte que petits et grands tombent amoureux des Nin-Nin made in Le Creusot.
"Nous avons passé le cap des 500 ventes. Nous sommes en progression de 20% par mois et nous avons fait un carton au marché de Noël du Creusot ! Les gens ont pu voir et toucher le produit puis l'adopter" nous déclare Nicolas.
Pour se diversifier, Clémence et Nicolas ont ajouté des chaussons à leur gamme. Ils ont aussi imaginé des bracelets personnalisables pour tous.
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Nin-Nin dans Famili Magic Maman - Décembre 2016 / Janvier 2017
Focus Reportage :
Le père à suivre - Découvrez les Nin-Nins de Nicolas Courrège
Quand on a un papa designer textile qui a toujours baigné dan sl'univers de la couture, les chances de se retrouver avec son propre doudou fait maison sont grandes. C'est exactement ce qu'il s'est passépour Eliott, le fils de Nicolas, qui lui a confectionné un"Nin-Nin", une peluche aux formes douces, facile à prendre en main et à cajoler. Ce Nin-Nin a désormais des centaines de frères et soeurs - fabriqués en France par des couturières motivées et passionnées -, qui n'attendent que leur nouveau propriétaire ! Ce beau projet made in France est le fruit du travail et de la détermination de Nicolas Courrège. Bravo à lui et longue vie aux Nin-Nins !
Son Kiff de père : Faire rire les enfants bien sûr ! "Les voir heureux est mon kif... peu importe pourquoi, quand, comment..."
Sa vision de la paternité : "Le père a un rôle complémentaire à celui de la mère. Le papa doit à sa manière apporter autant que la maman..."
Son conseil aux pères : "Achetez un Nin-Nin si vous voulez dormir la nuit... ou peut-être entrainez-vous à vous lever tous les quarts d'heure si vous avez prévu d'acheter un doudou !"
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Nin-Nin dans Le Magazine de la Communauté Urbaine Creusot Montceau - Novembre / Décembre 2016
Focus Reportage :
Nicolas Courrège et Clémence Berruyer, créateurs du site nin-nin.fr
Des câlins made in Le Creusot.
Nous venons de lancer notre site de vente en ligne de nin-nin, appellation qui s'inspire des chiffons qu'on donnait autrefois aux bébés en guise de doudou. Dessiné par nos soins, le nin-nin est assemblé ensuite par des couturières basées au Creusot. Après les premiers modèles en vichy bleu et rose, il se décline maintenant sous toutes les formes et de nombreux coloris. Cette démarche lancée par un homme prouve que le monde de la petite enfance appartient également aux papas !
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Nin-Nin dans Bébé Nature - Octobre 2016
Focus Reportage :
Nin-Nin nouvelle marque Française de doudou
Le concept a été inventé par un papa qui a les pieds sur terre et la tête dans les étoiles. L’idée première était de fabriquer un petit compagnon à son fiston et puis, de fil en aiguille, nous avons lancé la commercialisation de ce Nin-Nin. Il y a aujourd’hui plus de 50 modèles disponibles sur la boutique en ligne : un seul modèle pour une déclinaison multiple de couleurs. Le Nin-Nin évolue dans un monde masculin tourné vers les papas… Ceci traduit notre volonté d’avoir notre identité bien à nous.
La création et la fabrication sont françaises et nous l’affichons fièrement ! C’est un de nos points forts. Tous les Nin-Nins sont fabriqués en Bourgogne, au Creusot par de fantastiques couturières.
La petite histoire de Nin-Nin
Nin-Nin c’est l’histoire d’un papa avec un coeur gros comme ça ! C’est courageux quand on papa… A la naissance de son bambin l’idée est venue de lui confectionner un Nin-Nin tout doux (oui parce qu’en Bourgogne, les papas et ben ils savent faire la couture), un Nin-Nin qu’il peut embarquer partout avec lui (il avait pensé faire un Nin-Nin à taille humaine mais c’est moins pratique pour emmener chez mamie) et qui laisse libre cours à son imagination (eh oui, c’est pour ça qu’il n’a pas de visage ! )
Quatre ans de mauvais traitements plus tard le Nin-Nin du bambin a pris un sacré coup de vieux… et papa aussi d’ailleurs… Mais force est de constater que le Nin-Nin joue toujours son rôle à la perfection et bambin ne veut pas s’en défaire (il parait qu’il n’y a pas d’âge pour se séparer de son Nin-Nin, ça rassure ! ). Mais du coup, pas peu fier de cette réussite, papa a décidé de partager. Il a entrepris de refaire des Nin-Nins tout propres et encore plus mignons pour rassurer les enfants (ceux des autres) et leurs parents (pour qu’eux aussi puissent dormir la nuit, ou faire autre chose d’ailleurs…). Enfin, c’est pas lui qui s’occupe de la fabrication mais ce sont de super top couturières qui traficotent les Nin-Nins avec amour. Ces couturières elles sont là, chez nous en Bourgogne et donc ben vous l’avez compris, du coup Nin-Nin est un pur produit Made in France et ça c’est plutôt canon, et on en est fier ! Enfin en gros Nin-Nin c’est la trouvaille d’un papa pour tous les papas, toutes les mamans et les enfants…
Alors Nin-Nin ce sont des joies, des pleurs, du fun, du bonheur, du rêve… Heu… ce sont des cris, du bruit, de l’espièglerie, un grain de folie, de la vie, de la poésie, de la friponnerie, de la tarte u kiwi (Oups, ça marche pas ! Mais j’ai plus de mots en i). Nin-Nin ça parle de la famille, et on a envie de faire un peu partie de la vôtre… mais c’est surtout de la tendresse et de l’amour… Beaucoup beaucoup d’amour !
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Nin-Nin dans le journal de Saône et Loire - 16/08/2016
Focus Reportage :
Le Nin-Nin moderne prend vie dans la cité du pilon
Ils sont deux, accompagnés de deux couturières, à se lancer dans une aventure pas banale : donner au nin-nin un style différent et montrer que les hommes, eux aussi, peuvent avoir leur mot à dire en la matière.
Valeur rassurante de la plupart des bébés, le nin-nin (ou doudou) était jusqu'à présent désigné comme étant du domaine de compétence des mamans. Ce morceau de tissu qui se distingue de la peluche est depuis longtemps indissociable des nuits des enfants, ceux-ci jetant quelquefois leur dévolu sur des tissus improbables. C'est en partant de ce constat que Nicolas, alors jeune papa, a eu l'idée de se pencher sur la question. "L'idée m'est venue comme ça, avoue-t-il, parce que j'avais envie que mon fils ait quelque chose de très doux". Son prototype réalisé, il constate rapidement qu'il a touché juste. Quatre ans plus tard, le nin-nin est toujours dans les mains du petit? Et le papa voit en lui quelque chose de plus grand : la commercialisation à grande échelle.
Un gamme moderne
"Ce produit, j'ai voulu qu'il puisse toucher un maximum de personnes, analyse aujourd'hui Nicolas. Il fallait trouver un nom. J'ai tout de suite pensé à nin-nin." Vérification faite, cette marque n'existait étonnamment pas. Le nom est déposé dans la foulée et les idées s'enchainent. Les prototypes vichy bleu et rose des débuts vont recevoir de nombreuses déclinaisons. "Avec Clémence, qui travaille avec moi sur le concept, on s'est dit qu'il fallait se démarquer en utilisant des tissus avec des visuels très actuels. L'idée était un peu de casser les codes existants." Au fil des réflexions, 50 modèles différents seront sélectionnés, dont quelques-uns à destination des adultes, dont un modèle le clubber particulièrement étincelant. "On a pensé qu'il n'y avait pas d'âge pour avoir un Nin-Nin, explique Clémence. Et puis ça peut être des cadeaux sympas."
La forme de départ, imaginée par Nicolas, reste la matrice de cette aventure. "Chacun peut y voir la représentation qu'il veut", affirme-t-il. Depuis, le projet de départ est devenu un commencement d'entreprise avec la création d'une boutique en ligne. "Ce qui est très important, c'est que tout est pensé, conçu et réalisé ici, au Creusot, insistent les deux créateurs. C'est la condition à laquelle nous tenons le plus et celle qui ne changera jamais." Le made in Le Creusot vient d'accueillir une spécialité de plus.
Pas d'atelier, pas de magasin, mais une grande capacité à s'adapter
C'est depuis leur appartement que Nicolas, 37 ans et Creusotin pure souche, et Clémence, 33 ans et Creusotine d'adoption, pilotent nin-nin. "Nous n'avons pas eu de mal à trouver des couturières qualifiées pour la fabrication de nos pièces, détaillent-ils. Le Creusot a longtemps eu une tradition textile et de nombreuses personnes possèdent toujours un vrai savoir-faire." Travaillant à temps complet sur leur entreprise depuis 6 mois, ils peuvent aujourd'hui promettre une livraison des commandes sous 48 heures. Tous les deux ont également beaucoup travaillé sur le packaging qui accompagne leurs produits. "On veut mettre en avant le fait que c'est un papa qui a cette idée. C'est pour cela que nous avons choisi le thème de l'homme viril et tatoué, accompagné par le fait qu'il est aussi sensible pour tout ce qui touche à ses enfants. C'est une idée qu'on aimerait pouvoir garder si notre petite entreprise se développe." Depuis l'installation de la boutique en ligne, les premières commandes sont parties, mais Clémence et Nicolas savent parfaitement qu'il leur faudra désormais être patients.
Yves Gauthier